». Ceci serait un développement hautement défavorable pour les espoirs du Régime de Bush d’établir sa direction coloniale derrière la façade de la fausse démocratie de Maliki. La Coalition militaire en Irak aura duré 3 207 jours, soit huit ans et neuf mois. En 2010, hors un contingent américain dont le retrait est annoncé, il reste environ 150 Britanniques ayant un rôle de formateurs. La seule occasion où une guerre peut être justifiée, selon ce Catéchisme, est lorsqu'une nation est attaquée. Une liste partielle est disponible à l'adresse, Jean-Louis Turlin, « Bavures en Irak : le mea culpa de George Bush et de Tony Blair » dans. La CIA, qui espère rendre les contrôles plus efficaces et accroître les chances de trouver des armes de destruction massive, renseigne les inspecteurs sur leurs caches et emplacements probables[51]. nécessaire]. Au 15 novembre, il reste quelques centaines d'insurgés bien équipés. Israël espère voler toute la Cisjordanie et le sud du Liban pour son expansion territoriale. L'UNSCOM, qui a donc une mission d'inspection et de destruction, est à l'origine composée d'experts envoyés par les différents pays. Parmi eux se trouve Ezzat Ibrahim al-Douri, le « roi de trèfle », dont la mort a été annoncée à plusieurs reprises mais qui serait encore actif en Irak, dans la clandestinité, en 2015. Pour cette étude, l'OMS s'est fondée sur les données recueillies auprès de 9 345 ménages dans un millier de quartiers et villages répartis sur tout le territoire irakien[149]. Avant sa démission le mois dernier, le président de cour des comptes des Etats-Unis, David Walker, a rapporté que les dettes non couvertes du gouvernement des Etats-Unis s’élevaient à un total de 53 trillions de dollars [environ 34.000 milliards d’euros !]. "Recueil, manifestations guerre en Irak". L’Irak est affecté par l’uranium appauvri et des égouts éventrés. Le bilan le plus élevé est donné en janvier 2008 par l'institut de sondage britannique Opinion research business (en) qui estime que plus d'un million d'Irakiens ont été tués entre mars 2003 et août 2007[154],[155]. nécessaire], et les systèmes fixes de communications irakiens. L'ONG britannique Iraq Body Count (IBC) affirme avoir recensé au moins 162 000 morts, dont 79 % de civils, entre mars 2003 et décembre 2011[146]. Pendant la campagne électorale de l'automne 2004, l'opposition travailliste avait promis de ramener les soldats australiens au pays. En remplacement de cette Division d'infanterie mécanisée, l'armée américaine envoya au Kurdistan une Brigade aéroportée, principalement destinée à empêcher une intervention de l'armée turque dans cette région et à contrôler l'action des forces kurdes du PDK et du UPK[réf. Le 19 août 2009, un sextuple attentat à Bagdad fait 95 morts et plus de 550 blessés : c'est l'attentat le plus grave à Bagdad depuis 2008, deux des bombes étant posées devant les ministères irakiens des Finances et des Affaires étrangères, au cœur de la zone verte[131]. Rumsfeld a expliqué aux journalistes que même lorsque les inspecteurs des Nations unies étaient en Irak dans les années 1990, « la plus grande partie de ce qu'ils ont découvert était le résultat d'informations provenant de transfuges ». La majeure partie du pétrole américain provient du Canada, du Mexique et du Venezuela. Les Gardiens de la révolution iraniens feront une nouvelle incursion contre le PJAK au Kurdistan irakien en juillet 2011[139]. 355 milliards de manque à gagner pour l'économie lié aux décès, invalidités, différentiels de coûts des achats liés à la guerre…. Face à la progression des djihadistes, les États-Unis interviennent de nouveau en août 2014 et forment en septembre avec plusieurs pays européens et arabes, une deuxième coalition qui engage des opérations aériennes pour soutenir l'armée irakienne et les peshmergas kurdes. Fermeture ou réduction des activités des ambassades irakiennes à travers le monde selon les ordres de Washington. Dans la province d'Al-Anbar, à l'ouest du pays, une partie de l'insurrection tribale sunnite forme en septembre 2006 le Conseil du salut d'Anbar, dirigé par Abdul Sattar Abou Richa, qui sera assassiné un an après et remplacé par son frère aîné Ahmed Abou-Risha. « Aujourd'hui [fin novembre 2008], après une enquête indépendante, j'évalue le coût global de la guerre en Irak à 3 000 milliards de dollars », « Il est temps pour les États-Unis de quitter l'Irak, sans plus de délai qu'il n'en faut au Pentagone pour organiser un retrait méthodique, Une division blindée de l'armée régulière irakienne « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 120 chars moyens, Une division mécanisée de l'armée régulière irakienne « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 40 chars moyens, Une division d'infanterie de l'armée régulière irakienne « type 2003 », composée de l'équivalent de trois, Une division blindée de la Garde Républicaine « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 120 chars moyens, en utilisant intelligemment le réseau très dense de canaux - utilisés comme fossés anti-chars - de cette agglomération, qui a la particularité d'être incontournable, La Garde républicaine n'a apparemment pas cherché à tirer profit du réseau dense des très larges canaux d'irrigation situés au Sud de. En mars 2008, le nombre de ces miliciens est estimé à 80 000, sunnites à 82 %, et leur action a contribué à une baisse de 60 à 70 % du nombre des attentats par rapport à 2007[112]. Réorganisation des différents services publics et retour à l'école de la jeunesse irakienne malgré la destruction des infrastructures, l'insécurité qui règne dans le pays et la mort de nombreux professeurs et élèves avec, par exemple, une augmentation du taux de scolarisation à, Pour la première fois des femmes ont accès à des postes dans le gouvernement, au même titre que les hommes, quoiqu'en nombre très inférieur ; c'est le cas de. L’Afghanistan et l’Irak ont tous deux subi des pertes civiles et des dommages aux maisons, aux infrastructures et à l’environnement excessifs. En mars 2004, les forces américaines et la nouvelle armée irakienne affrontent les insurgés dans la première bataille de Falloujah, baptisée « opération Vigilant Resolve[100] » : 2 000 marines et deux bataillons irakiens conquièrent les deux tiers de la ville et tuent 184 insurgées et 616 civils (nombre de blessés inconnu), pour 27 morts du côté de l'armée américaine[100]. Pour exemple, en 2004, le forces armées polonaises ont trouvé 17 munitions chimiques[59]. Des congrès, conférences et forum sont presque inexistants, sans parler d'une « vie d’étudiant ». Une partie de l'enquête de l'ISG consistait à surveiller les opérations qui se déroulaient dans les sept dépôts de munitions ennemis capturés afin de dresser l'inventaire des munitions irakiennes, et si possible les munitions qui pourraient servir d'armes de destruction massive. Le 31 mai 2003, les États-Unis annoncent qu'ils occuperaient militairement l'Irak plus longtemps que ce qui avait été annoncé auparavant. Protéger les richesses pétrolières qui seront utiles pour la reconstruction du pays et aussi pour le programme « pétrole contre nourriture », arrêt de l’important marché noir[39]. Pour l'IFRI, en septembre 2005, « la cause religieuse l'emporte sur la cause nationale[200]. Saddam Hussein, quant à lui, est arrêté dans une cave par l'armée américaine à Tikrit dans la nuit du 13 au 14 décembre 2003, avec l'aide de Kurdes. En 2008, l'organisation Iraq Family Health Survey Study Group, publie une étude, fruit de sa collaboration avec plusieurs institutions irakiennes, estimant le nombre de morts liés au conflit à 150 000 entre mars 2003 et juin 2006[3],[150]. Fin juillet 2008, le président Bush annonce le retrait des troupes américaines des agglomérations irakiennes pour la fin juin 2009 et la date du 31 décembre 2011 pour le retrait des unités combattantes américaines de ce pays[115]. Selon des révélations de l'ancien secrétaire au Trésor Paul O'Neill, reprises par le journaliste Ronald Suskind (The Price of Loyalty), le Conseil national de sécurité de la Maison-Blanche discutait un Plan pour l'Irak après Saddam dès le mois de février 2001, soit quelques semaines après l'arrivée à la présidence de G.W. La résolution a été adoptée avec 11 votes pour, et 4 abstentions dont trois membres permanents sur les 5 du Conseil de Sécurité : L'Irak a rejeté cette nouvelle résolution, principalement parce qu'elle ne respecte pas les conditions pour la levée des sanctions imposées depuis 1990[46]. » Il cite « un nombre important de preuves crédibles[88] ». Coalition : États-Unis Royaume-Uni Australie Pologne (2003-2008) Corée du Sud (2003-2008) Italie (2003-2006) Géorgie (2003-2008) Ukraine (2003-2008) Pays-Bas (2003-2005) Danemark (2003-2008) Espagne (2003-2004) Portugal (2003-2005)(et autres...), Jama'at al-Tawhid wal-Jihad(2003-2004) Al-Qaïda en Irak(2004-2006) État islamique d'Irak(2006-2013), Abou Moussab Al-Zarqaoui † Abou Hamza al-Mouhajer † Abu Abdullah al-Rashid al-Baghdadi † Abou Bakr al-Baghdadi †, Sociétés militaires privées1 554 morts[4],[5]. Cependant, le terme de « guerre civile » décrit de manière correcte des éléments-clés du conflit en Irak, qui incluent un durcissement identitaire dans chaque communauté, un changement dans le phénomène des violences, une mobilisation confessionnelle et des déplacements de population. Cela se manifeste par des manifestations, une augmentation du nombre d'attaques terroristes islamistes (principalement dans le monde musulman et en Irak mais aussi en Europe et notamment France dans les années 2010) et du nombre de prise d'otages d'Occidentaux (ou de ressortissants des pays qui ont fait partie de la Coalition). En plus des opérations terrestres[107], l'aviation intervient ponctuellement, 285 bombes et missiles largués en 2004, 404 en 2005, 229 en 2006, 237 du 1er janvier au 15 mai 2007[108]. Selon cet argument, les Etats-Unis ont décidé de mettre la main sur l’Irak pour garantir leurs propres approvisionnements en pétrole. Les raisons invoquées officiellement étaient principalement : En septembre 2014, on révéla qu'il s'agit de plus de 5 000 munitions chimiques qui ont été trouvées[18]. Fin janvier 2004 en Irak, des attentats quasi quotidiens frappent toujours les forces militaires d'occupation et les civils travaillant pour eux. Art. 1 million ont trouvé refuge en Syrie, 75 000 en Jordanie et 150 000 en Égypte et 500 aux États-Unis. Différentes conclusions montrent que le Royaume-Uni a été trompé par les États-Unis[97]: Après leur victoire, les troupes de la coalition ont cherché à stabiliser la situation en Irak en installant un gouvernement militaire provisoire, l'autorité provisoire de la coalition. C'est donc l'Irak qui devra démontrer qu'il ne possède pas et ne produit pas d'armes de destruction massive. À cette date, selon les sondages, 65 % des Américains approuvent ce retrait, mais 69 % jugent que les États-Unis n'ont pas atteint leurs buts en Irak et 59 % qu’ils ne pourraient pas les atteindre quel que soit le temps passé dans ce pays[197]. Les soldats américains se battent et meurent en Irak depuis 2003 et les Américains ne savent pas pourquoi. Le 14 décembre 2003, Saddam Hussein, est arrêté par l'armée américaine. Il n’y a aucun moyen plus sûr de mettre le pays en faillite et de détrôner le dollar comme devise de réserve mondiale. Son précurseur direct, Al-Qaida en Irak (AQI), fut l’un des acteurs centraux d’une vaste insurrection sunnite contre le gouvernement irakien (contrôlé par des chiites) et les forces d’occupation étrangères. Les rapports font état d’une bonne entente entre Al-Qaeda et l’Irak, mais aucun ne laisse paraître la preuve d’une collaboration entre eux pour s’attaquer aux intérêts américains[38]. Plusieurs sont libérés en 2009[140]. Fin novembre 2001, Washington met en garde Bagdad contre la production d’armes de destruction massive (ADM) : George W. Bush exige la reprise des inspections des Nations unies pour le désarmement en Irak. La politique américaine a été fortement critiquée dans le monde. En novembre 2008, les gouvernements irakien et américain signent un pacte bilatéral incluant le Status of Forces Agreement (SOFA) qui fixe à la fin 2011 le terme de la présence militaire des États-Unis. ». Depuis fin 2006, les forces américaines et irakiennes ont capturé ou tué plusieurs hauts officiers du corps Ramazon de la force Qods iranienne créée pour agir en Irak qui soutenaient certains groupes de la guérilla. Selon des renseignements recueillis par l'Armée française, les deux bataillons irakiens qui participent à cette opération « s'évanouissent » au premier accrochage[101], et ne participent pas à l'opération. Morts et blessés Le président George W. Bush a officiellement déclaré l'achèvement des combats le 1er mai 2003, sous la bannière Mission accomplie. La campagne militaire américaine débute le 19 mars 2003, Bagdad tombe le 9 avril et le 1er mai, la bannière Mission accomplished est brandie sur le porte-avion nucléair… L'invasion a conduit à la défaite rapide de l'armée irakienne, à l'arrestation et à l'exécution de Saddam Hussein ainsi qu'à la mise en place d'un nouveau gouvernement. Beaucoup de scientifiques et étudiants manquent de connaissances linguistiques pour un échange international. Publié le 25 juin 2014. nécessaire]. Environ 5 000 munitions chimiques, essentiellement des obus de 155 mm, des roquettes al-Borak de 122 mm et des bombes pour avions datant d'avant 1991 ont été découvertes dans le pays, ainsi que plusieurs tonnes de divers produits chimiques en date de 2010, la moitié environ en 2006[57],[90]. Le 12 janvier 2005, le porte-parole de la Maison-Blanche, Scott McClellan, annonce la fin de la mission américaine de recherche d'armes de destruction massive en Irak, sans avoir trouvé trace d'armes prohibées[réf. » À la question de savoir si la guerre aurait été lancée s'il avait su que Saddam Hussein ne détenait pas ces armes, le président Bush a répondu : « C'est une question intéressante. Pour le gouvernement central du premier ministre Nouri al-Maliki, il s'agit aussi avec ces démonstrations de force de s'imposer sur la scène politique face aux multiples partis et acteurs de la société irakienne[123], notamment face aux Kurdes irakiens dont les peshmergas contrôlent militairement le nord du pays et qui cherchent à étendre leur autorité sur les territoires contestés autour de Kirkouk[124]. En avril 2008, à Muqdadiyah au nord de Bagdad, les forces américaines procèdent à une opération contre un groupe de policiers chiites qui pratiquaient l'enlèvement contre rançon de riches sunnites[130]. Debut 2007, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime dans une étude que 120 Irakiens sont morts en moyenne chaque jour entre mars 2003 et juin 2006 et donne une estimation de 104 000 à 230 000 morts violentes, dont plus de la moitié à Bagdad, pour cette même période[149],[2]. Les forces en présence étaient relativement équilibrées, voire légèrement à l'avantage des défenseurs irakiens, bien que la suprématie aérienne de la Coalition lui donnait certainement en réalité l'avantage ; néanmoins, au cas où l'armée régulière irakienne aurait décidé de combattre, il est peu probable que cette Grande Unité américaine, « expérimentale » et dont tous les équipements n'étaient pas encore opérationnels, aurait réellement cherché à l'affronter et à la réduire, par souci de limiter ses pertes en vies humaines[réf. Écarter une menace qui pèse sur le monde, due aux capacités qu’a Saddam Hussein à mener une guerre ; neutraliser les armes de destruction massive (biologique, chimique et nucléaire) ainsi que les missiles à longue portée et les autres armements, frapper des cibles militaires sélectionnées, rendre au Koweït des biens (œuvres d’art, matériel militaire) et des prisonniers de guerre, qui ont été dérobés lors de la première guerre du Golfe. La presse était surtout bienvenue pour les opérations de propagande. Trois trillions de dollars auraient payé les importations américaines de pétrole pendant 30 ans ; cinq trillions de dollars, pendant un demi-siècle, si le Régime de Bush avait préservé la valeur du dollar. La plupart des foyers se situaient en effet dans des zones proches des grands axes de circulation, cibles fréquentes des attentats », « susceptible d'être de l'ordre de 1 033 000 ». Il s'empare des villes de Mossoul et de Tikrit, ainsi que de la majeure partie des provinces de Ninive, Salah ad-Din et une partie de celle de Kirkouk. nécessaire])) et quatre des six divisions de la Garde républicaine (chaque division de la Garde étant d'une force militaire équivalente à une brigade de la Coalition : au total, trois Brigades blindées en combat rapproché[note 4] et 1 Brigade d'infanterie motorisée[note 5][réf. Cette troisième guerre du Golfe a causé des pertes dans les troupes américaines (4 301 au, Le manque de forces au sol pour une opération massive de longue haleine se fait ressentir par un emploi massif des, Elle est notamment l'occasion, pour les États-Unis et leurs alliés, de tester de nouvelles méthodes de. Les renforts (surge) envoyés au début de 2007[114] et l'application d'un programme de contre-insurrection symbolisé par la nomination de David Petraeus au poste de commandant des opérations appuyé par l'armée irakienne et les milices (Réveil d'Anbar, Fils de l'Irak) contribue à faire baisser le niveau de la violence. Entre 10 000 et 30 000 personnes se sont rassemblées rien qu'à San Francisco[195]. Renforcement à l'Est et au Nord de la puissance politique de l'islam chiite et donc de l'Iran, qui peut désormais soutenir pleinement son allié syrien. La résolution stipule qu'il pourra demander le départ de la coalition, mais celle-ci peut toujours intervenir à chaque fois qu'elle l'estime nécessaire. 160 milliards pour la démobilisation et le repositionnement de la défense. Les journalistes embarqués devaient s'engager à respecter des règles destinées à protéger le personnel militaire contre les informations qui pourraient potentiellement porter atteinte à leur sécurité durant les opérations de combat. La guerre en Irak : causes et enjeux du conflit. Cette mise en scène hollywoodienne et l'énorme médiatisation subséquente servirent à l'administration Bush pour justifier la guerre. Les investisseurs achètent massivement leurs actions afin de prendre leur part dans ces profits qui explosent. Elle estime que l'invasion de l'Irak n'était pas justifiée[205]. Au 1er septembre 2010, il ne reste que 50 000 soldats placé sous le commandement du général Lloyd Austin. Ces effectifs sont en novembre 2008 de 150 000 militaires renforcés par 163 000 contractuels privés de 122 SMP dont 49 % des employés sont Irakiens, 34 % d'entre eux sont originaires de pays tiers et 17 % Américains[144] dont plus de 13 000 sont armés, pour lesquels aucun compte officiel des pertes n’est tenu. Dans ce contexte difficile (ouragan Katrina) pour George W. Bush, un sondage Gallup montrait que 63 % des Américains voulaient le retour des soldats dans leur pays. Pollution des terres agricoles et des nappes phréatiques par le sabotage des puits de pétrole et l'ouverture volontaire des oléoducs. nécessaire]. Le 20 août 2004, deux journalistes français, Christian Chesnot et Georges Malbrunot, sont enlevés au sud de Bagdad par un groupe alors inconnu, l'Armée islamique en Irak. toutes les interviews avec le personnel doivent être enregistrées à moins que l'officier responsable des affaires publiques permette d'y déroger ; dans les camps et bases, les journalistes doivent être escortés par les affaires publiques pour des raisons de sécurité, de sûreté et opérationnelles. Cependant, le nombre et le type d'armes que l'Irak a détruit n'a pas pu être vérifié[81]. Cette explication pose problème. Le 17 décembre 1999, le Conseil de Sécurité des Nations unies a adopté la résolution 1284 qui prévoit la reprise des inspections en désarmement de l'Irak et la suspension des sanctions pour une période de 120 jours renouvelables. L'infanterie mécanisée américaine, fortement blindée, avec ses chars lourds de combat Abrams, ses VCI Bradley, accompagnée d'une très puissante artillerie lourde (automoteurs M109 howitzer et lance-roquettes multiples M270) et disposant d'une suprématie aérienne totale, a ensuite contourné les villes dans leur marche vers Bagdad. Les États-Unis réduits à n’être plus qu’un tout petit pays insignifiant? Les médias ne peuvent diffuser des informations classifiées, des informations sur le nombre, l'équipement, la disposition, les manœuvres, les tactiques, les opérations, les cibles (etc) des forces armées. En octobre 2006, l'Organisation de la conférence islamique (OCI) rédige le « document de La Mecque ». En juin 2003, la Coalition a mis sur pied l'Iraq Survey Group (ISG) chargé d'enquêter sur les anciens programmes d'armes de destruction massive irakiens. Une grande partie de ses stocks auraient été détruits en juillet 1991. Au 1er janvier 2010, le commandement de la force multinationale est remplacé par la United States Forces – Iraq (en) (USF-I). Des dizaines de personnes manifestent le 15 septembre 2004 dans les rues de la capitale irakienne pour exiger la libération des deux otages français. Les dernières poches de résistance armée n'ont alors pas tardé à tomber. 150 milliards liés à une moindre performance économique liée aux mêmes prix élevés. Le coût financier de la guerre d'Irak peut en partie être calculé à partir des mesures budgétaires votées par le Congrès des États-Unis en sus des budgets de fonctionnement. Le 21 avril 2008, OpEdNews a rapporté qu’un courriel interne du Général Michael J. Kussman, ministre délégué à la santé au Ministère des Anciens Combattants (MAC), adressé à Ira Katz, le chef de la santé mentale au MAC, confirme un reportage du McClatchy Newspaper, selon lequel 126 anciens combattants se suicident chaque semaine.