Derrière Kimi Räikkönen, la troisième ligne est occupée par Max Verstappen qui devance Daniel Ricciardo, son partenaire chez Red Bull Racing, de 2 millièmes de seconde. Cependant, le terme « plus rapide » reste subjectif. Alors qu'Hamilton est déjà loin, Vettel porte une attaque gagnante à cinq tours de l'arrivée, les pneus de Bottas étant à l'agonie. Sebastian Vettel, battu de plus de trois dixièmes de seconde, précède Kimi Räikkönen en deuxième ligne. Moins à l'aise, les Mercedes W09 réalisent les troisième et quatrième temps mais seul Valtteri Bottas reste en deuxième ligne, aux côtés de Daniel Ricciardo, Lewis Hamilton étant pénalisé d'un recul de cinq places consécutif au changement de sa boîte de vitesses ; il s'élance du neuvième rang. Compact 1.5 dCi 90ch energy Grand Confort Euro6, Koleos Blue dCi 190 X-Tronic All Mode 4x4-i, F3500 L3H2 2.3 dCi 135ch Grand Confort E6, F3300 L2H2 2.3 dCi 130ch Grand Confort Euro6, 2.0 Blue dCi 200ch Initiale Paris EDC - 19, L1H2 1200 1.6 dCi 125ch energy Grand Confort Euro6. Hamilton en profite pour plonger dans la voie des stands et se chausser de neuf ; il doit désormais finir la course avec son train de pneus super-tendres. Les Mercedes W09 se montrent particulièrement performantes sur le tracé varois, que tous les pilotes du plateau découvrent, la précédente édition de l'épreuve sur ce circuit s'étant déroulée en 1990. Le scénario du 63e Grand Prix d'Allemagne, pimenté par des averses en fin de course, tourne à 100% en faveur de Lewis Hamilton, qui inflige un 25 à 0 à Sebastian Vettel et remporte la soixante-sixième victoire de sa carrière. – Rapports de boîte de vitesse : autour de 2600 changements de vitesse par course. Grâce à sa troisième place, Sebastian Vettel reprend la tête du championnat (146 points) avec un point d'avance sur Lewis Hamilton (145 points). Valtteri Bottas (86 points) repasse devant Daniel Ricciardo (84 points) qui précède Kimi Räikkönen (68 points) et Max Verstappen (50 points). Le Grand Prix de Chine est la seule épreuve où aucun pilote n'a été contraint à l'abandon. Mercedes, en réaction, procède au changement des pneumatiques du leader Hamilton dès le tour suivant alors que Vettel continue en piste. Laquelle est plus rapide ? Après 27 tours, au terme de la vague des changements de pneus, les positions restent figées : les six premiers sur la grille sont les six premiers à l'arrivée. Sa vitesse maximale est d’environ 378-386km/h par rapport à la Formule 1, qui a une vitesse maximale de 362-356km/h. Bottas, ensuite dépassé par Räikkönen puis par Daniel Ricciardo revenu de la douzième place sur la grille, non sans l'avoir également tamponné, termine cinquième avec une pénalité de dix secondes. Malheureusement pour lui, après le quarante-quatrième passage sur la ligne de chronométrage, dans les esses de Senna, Esteban Ocon relégué à un tour, le percute en tentant de se dédoubler et l'envoie en tête-à-queue, abîmant également le fond plat de la Red Bull. Déjà sacré champion du monde, pour la cinquième fois, deux semaines plus tôt au Mexique, Lewis Hamilton bénéficie de circonstances inattendues pour remporter sa dixième victoire de la saison, la soixante-douzième de sa carrière, et offrir à Mercedes Grand Prix son cinquième titre consécutif de champion du monde des constructeurs, prolongeant ainsi le règne sans partage de l'écurie allemande depuis les débuts de l'ère des moteurs turbocompressées à double système de récupération d'énergie, en 2014. Tirant parti de ces conditions particulières, Esteban Ocon, troisième devant son coéquipier Sergio Pérez placent leurs Force India (renommées Racing Point Force India) en deuxième ligne. Sebastian Vettel, qui achève sa dernière tentative après lui, est battu de sept dixièmes de seconde. Lewis Hamilton est sacré champion à l'issue du Grand Prix du Mexique. Kevin Magnussen, reparti en pneus frais à dix boucles de l'arrivée avec une voiture allégée en carburant, réalise son premier meilleur tour en course, tout en se classant dix-huitième et avant-dernier, à deux tours d'Hamilton. Le stand Mercedes pousse un cri de joie quand Valtteri Bottas réussit, lors de sa dernière tentative en Q3, à tourner à 162 millièmes de seconde de son coéquipier pour s'installer à ses côtés en première ligne. Un deuxième ralentissement du peloton, cette fois avec la voiture de sécurité virtuelle, a lieu au septième tour lorsque Kimi Räikkönen tombe en panne en pleine ligne droite pour son 150e et dernier Grand Prix avec Ferrari. Une fois débarrassé des retardataires, le quadruple champion du monde britannique creuse à nouveau l'écart et s'envole vers la victoire. Avant d'y retourner pour remettre des pneus lisses, la piste n'étant pas totalement détrempée. Les pilotes Red Bull, opportunément placés sur le circuit, peuvent plonger directement dans les stands et chausser tous deux des pneus tendres sans perte de temps. Valtteri Bottas deuxième à treize secondes de son coéquipier, permet à son écurie d'obtenir un second doublé consécutif après celui réalisé en Russie. Skip to navigation ... 2018-19 Dutch Eredivisie, Regular Season ... 2 FT. 0 Vitesse Vitesse VIT. Nico Hülkenberg part en quatrième ligne, devant Ricciardo. Au contraire de son coéquipier, Daniel Ricciardo trace efficacement son chemin vers la victoire à coups de meilleurs tours en course et dépasse successivement Räikkönen, Hamilton, Vettel et enfin Bottas, au 44e tour. Au classement des constructeurs, Ferrari possède 40 points et devance Mercedes (22 points), Red Bull Racing (20 points), McLaren (12 points) et Renault (7 points). À trois tours du but, Bottas à qui la victoire semble promise, roule sur un débris et abandonne lorsque sa roue arrière droite déchape. Cette course marque la fin d'une série pour Mercedes, invaincu à Silverstone depuis 2013 et pour Hamilton qui restait sur quatre succès consécutifs devant son public. En Q3, Sebastian Vettel prend les devants sur sa première tentative, est un instant devancé par Valtteri Bottas lors de leur deuxième sortie en piste, puis le bat d'un peu plus de 2/10e de seconde sous le drapeau à damiers et les applaudissements de son public. Ricciardo (37 points) prend désormais la quatrième place, devant Räikkönen (30 points) et Alonso (22 points). Son deuxième arrêt au stand, quand tous ses rivaux n'en effectuent qu'un, le repousse à la quatrième place. Sur le podium, les pilotes Ferrari encadrent Hamilton qui l'emporte avec dix-sept secondes d'avance sur Vettel. Il leur est donc interdit de se décaler de leur emplacement, comme, Le pouvoir sportif réduit de quatre à trois le nombre de moteurs thermiques, turbocompresseurs et MGU-H que les écuries ont le droit d’utiliser avant d'être sanctionnées. Par la suite, hormis sa cinquième et dernière victoire de l'année en Belgique, il voit s'envoler 25 points à domicile en Allemagne en écrasant sa voiture dans le mur sur piste humide alors qu'il roule en tête, puis est auteur de départs fébriles, d'accrochages et de têtes à queue en Italie, au Japon et aux États-Unis. L'avance d'Hamilton sur Vettel au classement du championnat pilotes est désormais de 40 points (281 à 241) à six Grands Prix du terme. Max Verstappen, à trois dixièmes de secondes, part à ses côtés en première ligne alors que Sebastian Vettel, relégué à six dixièmes de seconde, réalise le troisième temps et s'élance en deuxième ligne, devant Valtteri Bottas. Dans les dix derniers tours, Vettel perd progressivement de l'adhérence et voit Bottas revenir dans ses rétroviseurs. La saison 2018 marque la disparition des Grid Girls, les jeunes femmes choisies pour leur physique avantageux chargées depuis plusieurs décennies d'indiquer l'emplacement de chaque pilote sur la grille de départ de chaque Grand Prix à l'aide de pannonceaux. Hamilton possède désormais 50 points d'avance sur Vettel en tête du championnat (306 points contre 256). Kevin Magnussen se classe septième devant Fernando Alonso. Daniel Ricciardo prend le meilleur sur Kimi Räikkönen au départ puis sur Lewis Hamilton dans les stands pour finir quatrième. Les deux repartent en pneus médiums pour aller au bout de la course, de même que Kimi Räikkönen et Lewis Hamilton. Hamilton remporte ainsi la soixante-cinquième victoire de sa carrière et sa troisième de la saison. Les Ferrari SF71H dominent les qualifications sur le circuit de Sakhir et permettent à la Scuderia Ferrari de monopoliser la première ligne, ce qu'elle n'avait plus réalisé depuis le Grand Prix de Hongrie 2017. Quatrième devant son coéquipier Kevin Magnussen, Romain Grosjean marque ses premiers points de la saison. Enfin, parti 13e sur la grille, en bagarre avec Fernando Alonso durant une bonne partie de la course, Charles Leclerc profite de l'abandon de la McLaren No 14 pour prendre le point de la 10e place. Les trois écuries de pointe monopolisent une nouvelle fois les meilleures places sur la grille Daniel Ricciardo précédant Kimi Räikkönen sur la troisième ligne. Consigne d'équipe ou non, Räikkönen tient sa deuxième place jusqu'au bout devant son coéquipier. Un spectaculaire accrochage au virage no 6, provoqué par Lance Stroll qui percute Brendon Hartley, conduit à la sortie de la voiture de sécurité lors des quatre premiers tours. Max Verstappen ayant accidenté sa Red Bull RB14 à la fin de troisième séance d'essais libres n'a pas disputé les qualifications ; repêché, il s'élance depuis la dernière place sur la grille. Vettel mène la course au volant de sa Ferrari jusqu'à son changement de pneumatiques au 26e tour, avant de se retrouver derrière son coéquipier Kimi Räikkönen qui doit le laisser passer sur ordre du stand après 39 boucles. Il n'y a qu'une Red Bull à l'arrivée, Max Verstappen abandonnant en lâchant des jurons dès le cinquième tour sur perte de puissance. L'ère des moteurs V6 Turbo hybride à double système de récupération d'énergie appartient à ce point totalement aux Flèches d'Argent : de 2014 à 2018, elles remportent cinq titres pilotes, cinq titres constructeurs, 84 pole positions et 74 victoires sur 99 courses disputées avec comme pilotes Lewis Hamilton, Nico Rosberg et Valtteri Bottas. », « Je suis plus heureux que si j'étais deuxième », « Je n'ai jamais eu la pression derrière moi, j'ai pu conduire comme je voulais », Fédération internationale de l'automobile, Grand Prix d'Europe 2016, sur le même circuit, Grand Prix automobile de Grande-Bretagne 2018, Grand Prix automobile des États-Unis 2018, https://scuderiatororosso.redbull.com/en_INT/car/str12, https://www.fia.com/events/fia-formula-one-world-championship/season-2018/2018-f1-entry-list, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Championnat_du_monde_de_Formule_1_2018&oldid=179183493, Page du modèle Lien web comportant une erreur, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Par ailleurs, deux sessions de deux jours sont programmées en cours de saison, après le Grand Prix d'Espagne, les 15 et 16 mai, et avant la trêve estivale, dans la foulée du Grand Prix de Hongrie, les 31 juillet et 1er août[21]. Räikkönen (avec 48 points) précède désormais Bottas (resté à 40 points) et Ricciardo (resté à 37 points). À l'autre bout de la gamme, apparaissent les « super-durs » (orange) tandis que les pneus durs passent au bleu. L'épreuve bascule dès le treizième tour quand Bottas, gare sa W09 en panne dans le virage no 4. Räikkönen, quatrième, part en deuxième ligne, derrière Max Verstappen. Pour la première fois en cinq éditions, la voiture de sécurité n'est pas sortie, même quand Charles Leclerc, en panne de freins à la sortie du tunnel, emboutit la Toro Rosso de Brendon Hartley au 70e tour, ne provoquant que le déploiement de la voiture de sécurité virtuelle l'espace d'un tour. À l'issue d'une saison où, fait exceptionnel, tous les pilotes et toutes les écuries ont marqué des points, Lewis Hamilton avec 408 points (le plus gros total pour un champion du monde depuis l'instauration de la victoire à 25 points en 2010), dix-sept podiums, un seul abandon, devance Sebastian Vettel (320 points, cinq victoires, douze podiums) de 88 unités. En partant pour la sixième fois en tête dans son Grand Prix national, il rejoint Ayrton Senna qui avait réalisé cette performance en 1986, de 1988 à 1991 puis en 1994, au Grand Prix du Brésil. Force India, renommée Racing Points Force India et réinscrite au championnat du monde, marque d'entrée les dix-huit premiers points de son histoire : dans le premier tour, au freinage des Combes, quatre voitures arrivent quasiment de front, Ocon à l'intérieur tente de surprendre Vettel et Hamilton, Pérez est à l'extérieur. Tours les plus rapides de l’histoire, pointe de vitesse à 360 km/h, c’est bien au Grand Prix d’Italie de Formule 1 que la vitesse est reine. Force India Formula One Team Limited, la maison-mère de l'écurie Force India basée à Silverstone, fondée et codétenue par l'homme d'affaires indien Vijay Mallya, est placée en redressement judiciaire le 27 juillet 2018[79]. Cinquième, Verstappen (158 points) devance son coéquipier Ricciardo (134 points) tandis que Kevin Magnussen et Nico Hülkenberg suivent avec tous deux 53 points. Avec deux arrêts au stand, le jeune pilote néerlandais ne cède les commandes à Sebastian Vettel que durant quatre tours, lors de son premier changement de pneumatiques. La saison marque également la fin de la carrière en Formule 1 du double champion du monde Fernando Alonso après 312 départs depuis 2001 et 32 victoires. Auteur du troisième temps à trois dixièmes de seconde, Sebastian Vettel est pénalisé d'un recul de trois places sur la grille pour avoir gêné Carlos Sainz Jr. La deuxième ligne est dès lors occupée par Kimi Räikkönen et Max Verstappen. Tous les autres pilotes achèvent la course à deux tours du vainqueur ; Nico Hülkenberg est sixième, suivi par Charles Leclerc et Stoffel Vandoorne dont la huitième place est son meilleur résultat de la saison. Le reste de la gamme comprend les pneus « ultra-tendres » (violet), « super-tendres » (rouge), « tendres » (jaune) et « medium » (blanc)[22]. Kimi Räikkönen (146 points) qui n'a pas marqué, reste troisième mais Bottas (142 points) se rapproche. Sebastian Vettel se rapproche à trois dixièmes de seconde pour partir en deuxième ligne, devant Max Verstappen. Les Grid Girls elles-mêmes déplorent de perdre un travail qu'elles disent adorer[28]. Kimi Räikkönen conforte sa troisième place (146 points) devant Bottas (132 points) suivi par Ricciardo (118 points) et Verstappen (resté à 105 points). Le pilote allemand s'impose pour la troisième fois de la saison et remporte la cinquantième victoire de sa carrière. Au volant de sa Toro Rosso STR13 à moteur Honda, Pierre Gasly obtient le meilleur résultat de sa jeune carrière en qualifications, en partant de la troisième ligne, devant la Haas VF-18 de Kevin Magnussen. Déroulement de la saison et faits marquants du championnat, « les plus tendres jamais conçus par Pirelli », « clairement en contradiction avec les normes sociétales modernes », « seront choisis sur la base du mérite ou par tirage au sort. Verstappen termine à huit secondes alors que Vettel, qui ne peut espérer mieux que sa troisième place, ménage sa monoplace et ses pneus pour passer la ligne d'arrivée à plus de 39 secondes du vainqueur. Les deux voitures se frottent et la Mercedes perd un bout d'aileron avant. Esteban Ocon et Nico Hülkenberg s'élancent de la cinquième ligne. Peu au fait des péripéties de la course alors qu'il se battait pour la victoire, Räikkönen retrouve Hamilton dans la chambre de repos avant le podium et lui demande : « Alors, tu as gagné le championnat ou pas ? Les deux Haas-Ferrari obtiennent le meilleur résultat en qualifications de leur histoire, Kevin Magnussen précédant Romain Grosjean en troisième ligne. Il doit, selon ses propres termes, « rouler lentement ». Mercedes reste invaincue à Sotchi et obtient le quarante-troisième doublé de son histoire dans une ambiance morose. Les Red Bull de Max Verstappen et Daniel Ricciardo sont en troisième ligne, devant la Renault de Nico Hülkenberg et la Force India de Sergio Pérez. Des gouttes de pluie éparses puis une averse plus franche pimentent la troisième phase des qualifications et piègent les pilotes Ferrari. Daniel Ricciardo (avec 72 points) précède désormais Valtteri Bottas (68 points) et Kimi Räikkönen (60 points). Le 5 février 2018, Liberty Media annonce que les Grid Girls seront remplacées par des enfants qui « seront choisis sur la base du mérite ou par tirage au sort. La Ferrari dont les gommes sont de plus en plus dégradées, résiste autant que possible, puis cède à une attaque imparable au freinage de la première chicane au bout de quarante-cinq tours. Le pilote allemand signe la cinquante-cinquième pole position de sa carrière, sa cinquième cette saison et sa première à Hockenheim depuis 2010 alors qu'il pilotait une Red Bull. Watch the TOP 15 crashes here: https://youtu.be/YJOhin9Pyd8Subscribe! Vettel, jugé responsable du crash, écope d'une pénalité de cinq secondes. Sixième sur la grille de départ, Pierre Gasly l'est aussi à l'arrivée ; il est le dernier pilote à franchir la ligne d'arrivée dans le même tour que le vainqueur. Vettel fait même un tout-droit dans une portion détrempée de la piste et échoue au neuvième rang ; il s'élance finalement de la quatrième ligne derrière Pierre Gasly, après la pénalisation d'Esteban Ocon, auteur du huitième temps. Kimi Räikkönen, en remportant son vingt-et-unième succès en Formule 1, devient l'unique recordman finlandais victorieux, devant Mika Hakkinen. Vettel l'emporte devant Hamilton et Räikkönen, Bottas finit quatrième, chassé par Ricciardo ; Nico Hülkenberg, sixième, précède Esteban Ocon, Fernando Alonso, Kevin Magnussen et Pierre Gasly ; ce dernier est ensuite pénalisé de cinq secondes pour avoir accroché Sergio Pérez en le dépassant et le pilote Mexicain récupère le point de la dixième place. Sebastian Vettel obtient la cinquante-deuxième pole position de sa carrière, sa deuxième consécutive, et l'écurie de Maranello place ses deux voitures sur la première ligne dans deux Grands Prix consécutifs pour la première fois depuis les Grand Prix des États-Unis et de France en 2006 ; elles n'avaient plus obtenu la pole position en Chine depuis la première édition, en 2004. Vettel et Hamilton marquent le coup en sa compagnie dans le tour d'honneur du dernier Grand Prix à Abou Dabi, effectué à trois de front et achevé par une série de donuts au milieu de la ligne droite des stands[2]. Sebastian Vettel mène l'épreuve du premier au dernier tour et permet à Ferrari de gagner à Montréal après quatorze ans d'attente. Ainsi, Sergio Pérez récupère la huitième place, alors que Brendon Hartley et Marcus Ericsson, arrivés hors des points, sont reclassés neuvième et dixième. Lewis Hamilton contrôle les 61 tours de course de bout en bout pour remporter sa septième victoire de la saison, la soixante-neuvième de sa carrière ; avec quatre victoires lors des cinq dernières courses, il prend une sérieuse option sur un cinquième titre mondial en portant à quarante points son avance sur Sebastian Vettel. Une grande partie de la course se joue au premier tour, derrière Kimi Räikkönen qui s'est élancé en tête. Kevin Magnussen et Romain Grosjean, coéquipiers chez Haas F1 Team, occupent la quatrième ligne tandis que le novice Charles Leclerc atteint pour la seconde fois de sa carrière la phase finale des qualifications et part en cinquième ligne, devant Esteban Ocon. Carlos Sainz Jr. et Kevin Magnussen ferment la marche dans les points à l'issue d'une course où les vingt voitures engagées sont classées, Brendon Hartley, qui a abandonné, ayant accompli plus de 90 % de la distance totale. La France avait accueilli une des sept courses du premier championnat du monde en 1950, et elle revient au bout d'une décennie » a déclaré en juin 2017 Chase Carey, le nouveau patron de la Formule [75]. Ricciardo obtient ainsi la troisième pole position de sa carrière, après être parti deux fois en tête à Monaco. De l'originalité à petits prix pour vos murs tout nus. Ricciardo (avec 96 points) précède désormais Bottas (92 points) et Kimi Räikkönen (83 points). Le dernier jour, 1er mars, Lewis Hamilton au volant de la Mercedes W09 réalise le meilleur temps absolu en pneus médiums en 1 min 19 s 333[19]. Carlos Sainz Jr., qui a roulé au troisième rang en début de course, termine huitième, à l'agonie, sa Renault en proie à un manque de puissance, devant son coéquipier Nico Hülkenberg et Charles Leclerc qui sauve le point de la dixième place en résistant jusqu'au bout à Romain Grosjean. Sur le circuit où il a remporté, en 2017, sa première victoire, le Finlandais bat son coéquipier de 145 millièmes de seconde et s'élance en tête pour la sixième fois de sa carrière. Derrière cette première ligne occupée par les Flèches d'Argent, la Ferrari de Sebastian Vettel est repoussée à une demi-seconde tandis que Kimi Räikkönen est à plus de huit dixièmes. Pierre Gasly et Kevin Magnussen s'élancent de la cinquième ligne. Valtteri Bottas et Esteban Ocon occupent la troisième ligne tandis que la quatrième est entièrement espagnole, Fernando Alonso plaçant sa McLaren MCL32 devant la Renault R.S.18 de Carlos Sainz. Cette victoire empêche Lewis Hamilton d'être sacré champion du monde à l'issue de l'épreuve et préserve les chances de son coéquipier Sebastian Vettel, arrivé quatrième, de rester en lutte pour le titre mondial. Räikkönen, en résistant jusqu'au bout à Daniel Ricciardo (auteur du meilleur tour), prend la troisième place alors que Fernando Alonso, cinquième, égale son meilleur résultat chez McLaren. Le quadruple champion du monde britannique domine en deux temps la dernière partie des qualifications, bat le record de la piste catalane en 1 min 16 s 173 et part en tête pour la soixante-quatorzième fois de sa carrière. Après son arrêt, au 25e tour, il ressort en quatrième position alors que Verstappen prend la tête devant son coéquipier Daniel Ricciardo et Kimi Räikkönen. Il est sacré champion du monde de F1 en 2007. Hamilton est accompagné en deuxième ligne par son coéquipier Valtteri Bottas alors qu'en troisième ligne Max Verstappen devance Romain Grosjean, auteur du sixième temps. Comme en 2017, il gagne à la faveur des arrêts au stand, sur un coup stratégique de son écurie et, cette fois, un évènement inattendu. Lors de son deuxième arrêt, au 36e tour, Kimi Räikkönen, alors troisième, est libéré trop hâtivement et renverse un mécanicien qui n'a pas réussi à changer sa roue arrière gauche. Au quarantième tour, Esteban Ocon tombe en panne au bord du circuit. Au moment de revenir là où il a débuté en 2001, chez Sauber pour disputer la saison 2019, il reste le dernier champion du monde pour Ferrari (2007) et donc le dernier vainqueur d'une course. Carlos Sainz Jr., Charles Leclerc et Nico Hülkenberg, tous trois partis loin sur la grille, prennent les points restants. La quatrième ligne est composée de Carlos Sainz Jr. et Esteban Ocon ; Pierre Gasly et Lance Stroll occupent la cinquième ligne. Hamilton l'emporte alors devant Räikkönen et Pérez, qui monte sur son premier podium depuis le Grand Prix d'Europe 2016, sur le même circuit. Esteban Ocon, sixième, précède son coéquipier chez Force India, Sergio Pérez ; Fernando Alonso, parti de la voie des stands, s'intercale au huitième rang, devant les deux Sauber de Charles Leclerc et Marcus Ericsson. L'opportunité qu'a représenté la sortie de la voiture de sécurité puis une série de meilleurs tours et de dépassements tranchants, permettent à Daniel Ricciardo de remporter la sixième victoire de sa carrière, lesquelles ont toutes été obtenues sans jamais partir d'une des trois premières places sur la grille. Daniel Ricciardo termine cinquième (170 points) et Nico Hülkenberg est le « meilleur des autres » avec 69 points. Verstappen (120 points) profite de l'abandon de son coéquipier Ricciardo (118 points) pour lui subtiliser la cinquième place. Hülkenberg, Alonso et Leclerc sont immédiatement hors-course, Räikkönen et Ricciardo continuent après un passage au stand mais les dégâts sur leurs machines provoquent leur abandon. Pour remporter la septième victoire de sa carrière, sa deuxième de la saison, le pilote australien doit composer, dès le 18e tour de course, avec un problème de perte de 25 % de la puissance de son moteur (dû à la rupture de son MGU-K), qu'il doit dès lors ménager en se contentant de seulement six rapports de boîte sur huit. La dernière modification de cette page a été faite le 25 janvier 2021 à 08:46. Räikkönen (251 points) reste solidement accroché à sa troisième place devant Bottas (237 points), sous la menace de Verstappen (234 points). Il est surnommé par les médias « Iceman » car il a une grande capacité à conserver son sang-froid en toutes circonstances. Vettel s'élance en troisième ligne devant Esteban Ocon. Bottas, avec 189 points ravit la troisième place à Räikkönen (186 points). Charles Leclerc, dans les points durant toute la course, passe la ligne d'arrivée en septième position, devant les pilotes Haas Romain Grosjean et Kevin Magnussen qui achèvent la course dans le même tour que le vainqueur. Max Verstappen, le jour de ses 21 ans, est l'auteur d'une remontée express depuis le dix-neuvième rang sur la grille ; cinquième au bout de huit tours, puis en tête durant vingt-quatre boucles après l'arrêt des pilotes Mercedes et Ferrari ; le Néerlandais retarde le sien jusqu'à dix tours de l'arrivée et termine cinquième. Cinq pilotes ont remporté au moins un Grand Prix, à savoir Lewis Hamilton, Sebastian Vettel, Kimi Räikkönen, Max Verstappen et Daniel Ricciardo. Alors que Vettel et Bottas remontent vers les points au fil de l'épreuve, Max Verstappen roule tout du long en deuxième position tandis que Kimi Räikkönen prend le meilleur sur Daniel Ricciardo pour le gain de la troisième place. Depuis 2013, les Mercedes n'ont pas été battues en qualification sur le circuit belge ; la série se poursuit avec Lewis Hamilton, moins rapide que les Ferrari sur piste sèche lors de toutes les séances d'essais libres puis les deux premières phases des qualifications, mais qui bénéfice d'une averse inondant la piste en Q3 et d'un ultime tour rapide en pneus intermédiaires pour obtenir la 78e pole position de sa carrière, sa cinquième à Spa-Francorchamps. Ainsi, quand Bottas procède à son changement de pneus au trente-septième tour, Hamilton est en mesure d'utiliser son aileron arrière mobile. Auparavant, Hamilton a mis un point final à un exercice 2018 qu'il a particulièrement dominé dans sa deuxième partie, en remportant sa onzième victoire de la saison (tous les succès de Mercedes de l'année) et la soixante-treizième de sa carrière. En tête dès le début de la ligne droite de Kemmel à la sortie du raidillon de l'Eau Rouge et jusqu'au terme de la course sans jamais avoir été inquiété, Sebastian Vettel fait parler la puissance de son moteur Ferrari pour remporter sa cinquante-deuxième victoire en Formule 1, ce qui lui permet d'occuper seul la troisième place au palmarès des vainqueurs de Grand Prix, devant Alain Prost. À ce point de la saison, trois pilotes, de trois écuries différentes, Sebastian Vettel, Lewis Hamilton et Daniel Ricciardo, totalisent chacun deux succès. Les McLaren-Renault sont à nouveau dans les points Fernando Alonso terminant septième devant Stoffel Vandoorne. Lewis Hamilton, en délicatesse avec ses différents types de pneumatiques victimes de dégradation excessive sur la piste mexicaine et devancé sur ce point par les Ferrari, et battu en performance pure par les Red Bull, n'en termine pas moins aisément quatrième de l'épreuve en évitant de se faire prendre un tour en fin de course par le vainqueur Max Verstappen, comme en 2017.
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